Aux soirs enfumés d’hiver
Où sur les toits de Verrières
La symphonie du délicat éther
Se déploie par-dessus les clairières
 
Flotte dans le frimas l’art fin’amor
Le bruissement des étangs profond
Le sourire que point je n’abhorre
L’azur des yeux que j’exalte au fond
 
Aux soirs enchantés d’hiver
Où  les tremblements de l’amour
Durent encore, rêve la bergère
À la chevelure de velours
L’infirmière à l’allure fière.