La vie à deux, ce n’est pas juste une rime à deux c’est mieux.
C’est le soir à deux devant eux
C’est être deux devant le feu
C’est poser les yeux sur une fleur
C’est flairer son odeur,
tous les jours
écouter battre son cœur.
 
La vie à deux,
C’est la main dans ta main pour ne faire qu’un, c’est un vers, un alexandrin
Ce sont nous des rimes embrassées,
C’est une prose à l’eau de rose,
Une rose intense pour toi mon olympe.
 
La vie à deux,
C’est sentir ton odeur,
Tous les jours
Écouter battre ton cœur
Tous les jours
Raviver l’étincelle dans tes yeux
Tous les jours
Écouter les mélodies de ta voix
 
La vie à deux,
C’est le regard sur nous  deux,
Comme un sillage dans le ciel bleu,
Une marque de tendresse que tu portes
Sur toi comme un parfum  de jasmin que le vent emporte.
 
La vie à deux,
C’est sentir ton odeur,
Tous les jours
Écouter battre ton cœur
Tous les jours
Raviver l’étincelle dans tes yeux,
Tous les jours
Écouter les mélodies de ta voix
 
La vie à deux,
C’est  le soleil de nos matins qui luit sur tes épaules,
c’est la rose de mai qui jaillit de ta chevelure,
c’est la rosée dans le creux de ta main qui étreint
 
La vie à deux, c’est nous deux, Mon amour,
Dans le bleu de la nuit où les frissons de l’amour durent encore,
célébrons nos ébats,
donnons aux  éclats du soir le spectacle  de notre histoire.
Partons de zéro, recommençons encore.
 
La vie à deux, c’est la beauté
De l’aube d’été sur tes épaules d’ébène.
La vie à deux, c’est Michelle et Barack,
C’est Bernadette et Jacques,
C’est Nelson  avec lui-même,
C’est l’amour de soi, c’est l’amour de l’autre
C’est mon amour pour toi, mon amour
C’est le cri des amoureux, dans le tourment de la passion.
C’est le silence  dans les adieux, c’est le bruit des silences après l’amour
Ce sont « les sanglots longs des violons de l’automne »,
C’est Rimbaud et Verlaine, tous les deux au gai logis
 
La vie à deux, c’est nous deux pour la vie.